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Kalia Lazare – Elfe / Diseuse de bonne aventure & Guérisseuse — OCCUPÉ
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Jeu 3 Mai - 16:23

♦ Prédéfini ♦


Créé par : Fenris Mordren
Autorise la modification : Pourquoi pas, si vous voyez quoi que ce soit à ajouter, libre à vous. De même, si un détail vous défrise, n’hésitez pas à me contacter. ^^
Commentaire pour le futur joueur : Regardez-la. Avec ses grands yeux brillants, son poil soyeux et sa truffe humide, n’est-elle pas mignonne ? Braves gens, ayez du cœur et ne la laissez pas trop longtemps moisir à la SPA des prédéfinis sans joueur fixe. Elle va finir par se gâter et se mettre à mordre… alors faudra la piquer. Ce serait dommage quand même.


♦ Personnage ♦


Kalia Lazare – Elfe / Diseuse de bonne aventure & Guérisseuse — OCCUPÉ 110


Nom : De naissance, la demoiselle se nomme Gwethrenmamiiel Aeuialiel Larenagaseer. S’étant vite rendue compte que ses parents avaient abusé dans le respect des racines tortueuses des patronymes elfiques et pour éviter à tous d’écorcher mille fois son mélodieux nom à rallonge, elle use actuellement d’un pseudonyme humain : Kalia Lazare.
Surnom : Clairement, derrière son dos, c’est ‘la bonnasse’. Plus officiellement, on lui donne du ‘l’Oracle’. Ou encore ‘la Pure’, en hommage à sa beauté et de façon plus sarcastique, à la virginité qu’elle prétend avoir conservée… (ce à quoi personne ne croit vu la manière indécente qu’elle a d’aguicher à tout bout de champ l’air de pas y toucher)
Race/Classe : Elfe / Diseuse de bonne aventure (gros fake, elle n’a strictement aucun réel pouvoir dans le domaine) & guérisseuse.
Age : 369 ans. Ce qui ferait de vous un sacré gérontophile si vous pouviez la pécho, comme on dit de nos jours. Cependant, grâce à la génétique cheatée des Elfes, la belle ne paraît avoir qu’une petite vingtaine d’années.




♦ Apparence ♦


Kalia, c’est un poème visuel. Une ode à la générosité de Mère Nature et à l’Amour. Au passage de sa silhouette toute en courbes voluptueuses et en ondulations félines, la saison du rut est instantanément enclenchée. Les têtes des mâles se dévissent, les sifflets fusent et les autres femmes la foudroient de regards méprisants.

Bien qu’atteignant à peine un mètre cinquante-cinq pour quelques petits quarante-huit kilos, elle est un exemple parfait de répartition harmonieuse des masses. Chez Kalia, le moins qu’on puisse dire c’est qu’il y a du monde au balcon et de quoi s’agripper au bastingage arrière en cas de roulis. Ca plus des hanches accueillantes de reproductrice née et l’on comprend aisément pourquoi les hommes perdent des neurones de façon exponentielle s’ils s’attardent trop à ses côtés.

Très fière de sa chevelure dont les mèches neigeuses ondulent jusqu’au creux de ses reins, elle prend toujours soin d’élaborer des coiffures alambiquées, pleines de petites tresses et autres tortillons élégants. Son joli minois aux traits fins n’est jamais fardé, son teint de pêche et sa petite bouche en cœur étant l’héritage du sang supérieur (selon elle) qui coule dans ses veines. Un grain de beauté, sur sa pommette gauche, souligne avec espièglerie le profond regard bleu foncé de ses grands yeux en amande.

Il faut le savoir, Kalia est bling-bling. Féminine jusqu’au bout des ongles, elle porte une tripotée de bijoux (pour la plupart reçus en paiement d’une divination), se vêt de façon aussi minimaliste et tape-à-l’œil que le climat saisonnier le permet, adore porter des vêtements bordés de fourrure (pour peu qu’elle n’ait pas vue la bestiole se faire zigouiller et étriper) et des voiles diaphanes cachant peu de ses nombreux atouts. Elle déteste être vue négligée, se lave précautionneusement tous les jours quitte à se geler dans un ruisseau à demi gelé et choper la mort, fait des gommages au sable de rivière, se frotte avec des herbes odorantes pour parfumer sa peau, j’en passe et des meilleures…
Bref, Kalia ressemble à une trainée qui se donnerait des airs de princesse, selon certaines ; une déesse selon d’autres… dont je vous laisse deviner le sexe.



♦ Personnalité ♦


Le gros problème de miss Lazare, c’est qu’elle est belle et que malheureusement elle le sait, en jouant odieusement pour tenter de manipuler son petit monde. Soit, c’est aussi qu’elle est Elfe et qu’en conséquence, elle a une fâcheuse tendance à se croire au-dessus de la populace dans bien des domaines. A dire vrai, Kalia est un peu garce quand elle s’y met. La langue bien pendue, elle assène des répliques cinglantes à tout va et en bonne mademoiselle je-sais-tout, a évidemment raison en toutes circonstances. Même quand la preuve du contraire explose sous son joli nez, sa mauvaise foi légendaire soutiendra que c’était absolument là l’effet ou le but visé. Un brin capricieuse, elle change d’avis comme de string et déteste être contredite. Vaniteuse et hautaine, l’Elfe toise son monde avec l’assurance insolente de ceux qui ont tout vu et tout vécu. Remarquez que sur ce point, avec son âge avancé, il y a des chances qu’elle en ait vues et vécues un paquet. Cela dit, son esprit aiguisé et ses talents remarquables de guérisseuse en font une alliée de choix lors d’une expédition périlleuse, que son goût de l’aventure la poussera toujours à accepter, quels que soient les dangers.

Mine de rien, la jeune femme est tout de même attachante. Droite et toujours disposée à utiliser ses dons pour soigner un compagnon blessé ou sauver un animal en détresse, elle n’est pas aussi délicate qu’il y parait. Son fort caractère, certes chiant et potentiellement attracteur d’une somme faramineuse d’emmerdements, lui confère un sang-froid à toute épreuve face aux tripes et boyaux dégoulinants après un combat ou devant les stigmates des maladies les plus répugnantes. Dans ces cas de figures, la mijaurée s’efface de façon surprenante pour laisser place à une femme à l’efficacité redoutable, douce et pleine d’une compassion qu’on ne soupçonnerait pas sous ses dehors de bêcheuse. Au fond, Kalia est même carrément fleur bleue mais répugne à l’avouer, cela ne collant pas du tout à l’image de femme indépendante, forte et digne, qu’elle désire donner à contempler. D’ailleurs, ne vous fiez pas à son poids plume : c’est une roublarde qui sait parfaitement viser là où ça fait trèèès mal, n’éprouvant aucun scrupule à vous envoyer un coup de botte dans les valseuses pour vous mettre à terre avant de vous assommer. Passionnée, on peut dire ça ouais.

Dernière chose… pour ce qui est de son métier, cartomancienne, Kalia est une baratineuse de haut vol ; un pur charlatan. Observatrice, douée d’une bonne dose de psychologie et d’une certaine empathie, elle devine sans mal les grandes lignes de l’existence et de la personnalité de ses clients, s’en servant ensuite pour leur fournir des prédictions conformes à leurs souhaits les plus chers. Maligne, elle sait nuancer de gris les cieux radieux qu’elle promet, enrobant ainsi de crédibilité les boniments qu’elle débite à longueur de journée dans sa boutique de Château-Rouge. D’aucuns disent que l’attrait hypnotique de ses formes y est aussi pour beaucoup dans sa capacité à faire avaler des couleuvres au tout venant. Ceci est parfaitement exact mais chuuut, c’est un secret !


♦ Partie Historique ♦


Il y en aurait à dire sur ce que la belle Elfe a glandouillé pendant plus de trois siècles et demi. De quoi faire une sacrée triologie… si seulement sa vie, durant les deux premiers siècles, ne s’était révélée platement banale. Unique joyaux d’un « jeune » couple elfique, descendante d’une célèbre (du moins en Forêstrange) famille, la petite tête argentée vécut choyée, pour ne pas dire pourrie gâtée. Dès qu’elle fut en âge de bander un arc, on la mit à l’entraînement, dans le but d’en faire la digne héritière de ses aïeux dans le domaine. Le sang ne mentant pas, elle développa de beaux talents à l’arc entre deux promenades bucoliques avec un de ses multiples soupirants. Sa mère et sa grand-mère lui enseignèrent également l’art ancestral des guérisseurs. Son avenir semblait confortablement tracé, entre excellence et flirts aussi insouciants qu’incessants. Elle se marierait bientôt, fonderait une famille à son tour et vivrait quasi éternellement heureuse dans l’écrin protégé de la forêt.

Seulement voilà, le vert chatoyant de Forêstrange était bien beau mais justement… ce n’était rien d’autre que du vert. A perte de vue. Et à ce qui se disait, au-delà de ses limites, s’étendait un vaste monde où la vie offrait nettement plus de possibilités. Ses parents commençaient à devenir sérieusement lourds, la pressant de se choisir un époux et de rentrer dans les rangs. Dans le village, ça jasait sec au sujet de la jolie elfette qui bécotait à tout va sans jamais s’engager et ils craignaient que la réputation de leur auguste famille finisse par être entachée si le comportement de cette tête de mule rebelle ne s’assagissait pas au plus vite. La panique de se voir passer la corde au cou poussa la belle à fuir le plus loin possible de cette bande d’arriérés qui comptaient l’enchainer. En pleine nuit, elle quitta à jamais son monde en vase clos et sans se retourner, s’engagea sur les libres et vastes chemins du destin…

... qui la menèrent à prendre conscience d’une dure réalité. Il allait falloir gagner sa vie. Un choix à peu près évident s’offrait à elle : vendre ses charmes. Mais étrangement, le charme rustique des maisons de passes et l’aura odorante de la clientèle n’eurent que peu d’attrait à ses yeux. Un jour qu’elle trainait ses charmants pieds bottés dans la fange boueuse d’une foire en fin de soirée, en quête d’un pigeon pour lui offrir à diner contre quelques œillades allumeuses, elle aperçut une tente de toiles chamarrées. L’odeur entêtante des herbes brûlées la grisa lorsqu’elle pénétra sous le lourd voilage pour se trouver nez à nez avec une vieille gnome ridée comme une pomme, en train de compter une belle masse de pièces dorées. L’ancêtre lui proposa de lire son avenir avant de fermer boutique. Gwethrenmamiiel, puisque c’est ainsi qu’elle se nommait alors, rétorqua qu’elle n’en avait nul besoin, que son avenir venait justement de se révéler à elle et que si la vieille y consentait, tout ce qu’elle désirait apprendre, c’était comment se faire autant de blé. Ainsi, l’Elfe suivit la cartomancienne durant quelques saisons, le temps d’étudier les arcanes de l’art divinatoire. Une fois les ficelles du métier assimilées, elle se choisit un nouveau nom et pu enfin voler de ses propres ailes.

La fortune lui souriait, Kalia Lazare devenant peu à peu une voyante parmi les plus réputées. On venait de loin pour la consulter. On payait cher ses prédictions et ses conseils avisés. Si bien qu’elle parvint à rassembler un pécule conséquent qui lui permis de s’offrir un cabinet en dur dans une rue commerçante de Château-Rouge. Elle y tient ses consultations divinatoires et médicales sur rendez-vous depuis plus de cinquante ans et en dehors, se donne du bon temps, entre vie mondaine et trépidantes quêtes aux côtés de vaillants et sémillants aventuriers.



♦ Récapitulatif & Détails


Origine : Un village elfique au sud de Forêstrange.
Famille et Relations : Fille unique pendant longtemps, elle a récemment eut un petit frère. Père, mère, papis et mamies sont toujours de ce monde.

Elle connait également très bien un certain Fenris Mordren, dont la route croise souvent la sienne. D’après elle, il serait une sorte de malédiction, un boulet à trainer pour avoir déçus ses ancêtres en se lançant dans la divination de pacotille au mépris de la grande lignée d’archers dont elle est issue. Selon Fenris, elle le piste sans arrêt en réalité, feignant des rencontres imprévues, incapable de se passer de lui malgré qu’elle prétende le détester. Au fil du temps, un lien d’affection particulière s’est développé entre eux, tissé de chicanes continuelles et d’une confiance mutuelle curieusement solide pour deux entourloupeurs, le tout enrobé de déni et de sarcasmes échevelés. L’un et l’autre paraissent donc se détester comme Elfes et Nains cependant, rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. Qu’ils commencent par l’admettre serait un bon début mais avec ces deux caractères de cochons, mieux vaut ne pas trop y compter.


Possessions : Kalia possède une maisonnette, au cœur de Château-Rouge, dont le rez-de-chaussée est aménagé en cabinet de voyance, l’étage servant pour ses appartements privés. Une collection faramineuse de tenues à la dernière mode encombrent ses armoires mais pour voyager, elle porte souvent une courte robe de laine marron et beige, des bottes assorties et un manteau de peau bordé de fourrure pour l’hiver. Sa seconde tenue fétiche est un costume de diseuse de bonne aventure plus exotique.

Spoiler:

Spoiler:

Elle ne se déplace jamais sans plusieurs petites bourses contenant quelques sous, ainsi que son nécessaire d’hygiène et de beauté. Dans ses bottes, elle glisse toujours deux petits poignards.

Qualités, Talents : Bonne archère (même si elle ne pratique plus désormais), guérisseuse, oratrice aguerrie, sait garder son sang-froid quand la situation l’exige, douée d’empathie, fine psychologue, douce, efficace, passionnée.
Défauts : Elfe. Tête de mule, d’une mauvaise foi désespérante, capricieuse, hautaine, vaniteuse, allumeuse, volontiers langue de vipère, manipulatrice, …


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Renou
RenouSeigneur Masculin Messages : 1491
Inscrit le : 13/12/2010
Jeu 3 Mai - 19:08
Validée plutôt 1000 fois qu'une °°. J'aurais presque envie de la prendre (sans mauvais jeu de mots) mais j'ai déjà un autre personnage donc ça suffit, aux autres de RP ! èé
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Kalia Lazare – Elfe / Diseuse de bonne aventure & Guérisseuse — OCCUPÉ

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